« J’ai étudié la calligraphie arabe à Tanger et au Caire. Ma signature et mes œuvres sont, entre autres, influencées par le style de calligraphie arabe Kufi », rappelle l’artiste parisien, fasciné par l’histoire de l’écriture. C’est par l’intermédiaire de JonOne (célèbre grapheur new-yorkais) qu’il a accepté ce projet. Accompagné de son équipe et du graffeur roubaisien Roobey, L’Atlas a dessiné trois fresques rectilignes sur trois murs du bâtiment de la rue des Fabricants.

« L’idée était de dessiner mes fresques sur trois murs en 1/3, 2/3 et en entier dans l’idée d’un lever de soleil », souligne L’Atlas, avant d’ajouter. « Je me pose la question de venir m’installer ici car avec les nombreuses friches en réhabilitation, il est possible de se faire un chouette atelier. D’autant plus que Roubaix est connu dans le milieu du graff tout en étant très bien desservi par les transports. » Encore un graffeur célèbre attiré par Roubaix !